La peur de mourir est souvent un sujet un peu tabou et bon nombre de personnes n’osent pas en parler. Nombreuses sont les personnes qui ressentent cette appréhension, que ce soit occasionnellement ou en permanence. Bien que ces angoisses semblent être insurmontables, elles n’ont en rien un caractère définitif et il est possible de s’en débarrasser. Cet article explore diverses approches pour vous aider à vaincre cette peur et mener une vie plus sereine.
Comprendre la peur de mourir
Différence entre peur de la mort et thanatophobie
La thanatophobie est la peur irraisonnée, violente et incontrôlable de la mort. Le mot vient du mot grec thanatos qui signifie « la mort » et du mot grec phobos qui veut dire « crainte, peur, terreur ».
La peur de la mort, quant à elle, est une réaction normale et utile dans la mesure où elle permet de prendre les mesures nécessaires face à un danger ou un risque mettant en péril notre vie.
La peur de la mort est plus ou moins rationnelle. Elle varie d’un individu à l’autre en ce sens que nous réagissons souvent différemment face à chaque situation de danger. Certains d’entre nous avons le vertige dès que nous sommes à plus de trois mètres de haut alors que d’autres peuvent marcher sur une corde au-dessus d’un précipice.
La plupart d’entre nous arrivons à gérer notre peur de la mort ou nos peurs du danger : nous arrivons à prendre l’avion même si nous ne sommes pas à l’aise, nous prenons l’ascenseur même si nous ressentons un pincement au cœur, nous pouvons monter en haut de la tour Eiffel même si nous ressentons une certaine angoisse, etc.
Par contre, il peut arriver que la peur de la mort ou la peur du danger soit si forte chez certains qu’ils ne peuvent pas la contrôler. Leur seule solution est d’éviter la source du danger, voire de s’en éloigner le plus possible. Cela va les handicaper fortement et les empêcher de mener une vie normale. C’est à ce moment-là que l’on parle de thanatophobie.

Les différentes formes d’angoisse de mort
Les angoisses de mort se manifestent de différentes manières en fonction des individus et des facteurs sous-jacents. Voici les principaux types d’angoisses de mort :
Thanatophobie : c’est la peur intense et constante de la mort. Elle va généralement entraîner une impossibilité de côtoyer ou d’envisager tout ce qui rappelle la mort. Ceci va se traduire par un évitement des lieux qui sont associés à la mort comme les hôpitaux ou les cimetières, ou une impossibilité de regarder des scènes violentes ou d’accidents, des cadavres, des cercueils, que ce soit pour de vrai, en photo ou à l’écran.
Crises d’angoisse de mort imminente : ce genre de crises sont très pénibles car même si notre vie n’est pas en danger, on a vraiment l’impression que l’on va mourir sous peu. Et même si l’on sait que c’est totalement irrationnel, on n’en ressent pas moins cette émotion terrifiante qui nous saisit.
Peur d’avoir une maladie incurable : c’est ce qu’on appelle « être hypocondriaque », on est alors en proie à une inquiétude constante concernant sa propre santé. On pense être atteint d’une maladie mortelle comme un cancer ou une maladie rare qui tôt ou tard va nous emporter. Là encore, bien souvent on est en bonne santé et nous n’avons aucun symptôme de maladie, ou alors il se peut qu’une douleur localisée passagère déclenche cette peur.
Peur de mourir de façon violente : cette angoisse est centrée sur la crainte de mourir de manière brutale, traumatisante ou violente. On va ainsi avoir peur de mourir dans un accident de voiture ou tout autre type d’accident ou bien on va avoir constamment peur d’être agressé. Ce genre de peur est très handicapante quand elle est ressentie de façon intense et constante. En effet, elle va nous empêcher de prendre l’avion, le train, la voiture, de pratiquer certains sports (ski, escalade, VTT, moto, plongée…) ou de monter dans un ascenseur. Dans les cas extrêmes, la personne va avoir tendance à ne pas sortir de chez elle, seul endroit où elle ne se sent pas trop en danger.

Peur de mourir en dormant : certaines personnes ont peur de mourir pendant leur sommeil. Pour elle, le sommeil rappelle la mort dans la mesure où c’est une période de perte de conscience et de contrôle. Ces personnes vont avoir beaucoup de difficulté à aller se coucher ou à s’endormir. Elles peuvent aussi avoir des insomnies et des angoisses nocturnes. Une peur similaire est la peur de s’évanouir et de ne pas se réveiller ou encore la peur des anesthésies générales, toujours par peur de ne pas se réveiller.
Peur de la mort de ses proches : cette angoisse se focalise sur la mort de personnes aimées, comme son conjoint, ses enfants, ses parents ou ses amis. La peur peut être liée à la perte d’un être cher et aux conséquences émotionnelles de cette perte. Les personnes tourmentées par cette peur vont angoisser dès que leurs proches ne sont pas avec elles, ils vont souvent être dans l’impossibilité de laisser leurs enfants seuls, de les confier à une autre personne, etc.
Les causes de l’angoisse de la mort
La peur de la mort est souvent diffuse, c’est-à-dire qu’elle n’est pas liée à un événement particulier. Certes, chez certains, elle a pu apparaître suite à un événement traumatisant comme la perte prématurée d’un être cher, la vue d’un cadavre, un accident, etc.
Vaincre la peur de mourir : comment ne plus avoir peur de la mort
Surmonter une peur ne se fait pas en la fuyant ou en l’évitant car, se faisant, elle conserve le pouvoir de vous perturber. La façon de vaincre une peur est tout d’abord de la cerner et la comprendre le mieux possible, puis d’entreprendre des actions pour en être moins l’effet puis pour la maîtriser ou la dompter.
Comment mieux se connaître pour dompter ses angoisses
La peur de la mort peut en partie provenir du fait que l’on n’a pas pris le temps de regarder et de comprendre ce qui précisément nous faisait peur. L’angoisse de la mort peut également être due à des facteurs nous concernant, concernant notre vie ou notre mode de vie.
De quoi avez-vous peur exactement ?
Tout d’abord, il est nécessaire de comprendre de quoi on a peur. En déterminant la cause exacte de notre peur, on va pouvoir dans une certaine mesure y apporter des réponses et ainsi en réduire la force.
Voici quelques questions à vous poser afin de voir plus clair en vous :
- Votre peur de la mort est-elle la peur de ne plus exister ou la peur du néant ? Est-ce que si vous étiez convaincu qu’il y a quelque chose après la mort vous seriez plus serein ?
- Est-ce la peur de l’inconnu ?
- Avez-vous peur de ne plus pouvoir profiter de la vie et de tous ses plaisirs ?
- Avez-vous peur de souffrir, peur de la souffrance physique qui peut précéder la mort ?
- Est-ce la peur de vieillir, la peur de la solitude, la peur d’être diminué, invalide ou dépendant que vous appréhendez ?
- Ce qui vous fait peur, est-ce plutôt d’être oublié ?
- Ou bien avez-vous peur de ne plus être en relation avec ceux que vous aimez ?
- Est-ce le fait d’abandonner ceux qui ont besoin de vous qui vous fait peur ?
- Peut-être que ce qui vous angoisse, c’est que vous avez l’impression de ne pas avoir fait tout ce que vous vouliez faire ou de ne pas avoir réussi votre vie ?
- Culpabilisez-vous ou avez-vous des regrets de choses que vous avez faites ou pas faites et vous voudriez vous décharger de ce fardeau avant votre mort ?
Ce qui est important dans la vie, c’est ce qu’elle procure, ce qu’elle permet de faire : elle apporte de la joie, du bonheur, des émotions, des expériences, des surprises, des récompenses, des plaisirs, des satisfactions, des objectifs à atteindre, des défis, des causes à défendre, des idéaux, des rêves à réaliser, etc.
L’angoisse de la mort empêche de vivre et de profiter de la vie à 100 %. À quoi ça sert de vivre si l’on ne fait pas ce que l’on aime ou si l’on ne fait plus rien par peur de la mort ? La vie va non seulement être désagréable à vivre à cause de nos angoisses mais elle va devenir triste et ennuyeuse.
Mieux vaut-il vivre vieux en ayant mené une vie de prisonnier et d’handicapé ou mourir plus jeune mais en ayant mené une vie libre, où nous étions en bonne santé et où nous avons fait ce qui nous plaît. C’est ce que fait l’angoisse de la mort, elle vous enferme dans une prison, vous empêche de faire ce que vous aimez et empêche de profiter de la vie.
La mort est-elle réellement une fin ?

La principale raison pour laquelle la mort est si angoissante pour certains est qu’ils pensent que c’est une fin et qu’après elle c’est le néant. C’est très dur d’imaginer sa propre disparation, sa propre non-existence. Nous existons, nous savons que nous existons, nous sommes conscients de nous-même, de notre existence et du monde qui nous entoure et imaginer de ne plus exister, de ne plus être, eh bien, c’est très difficile, c’est presque contre-nature.
Serait-il alors possible que la mort ne soit pas une fin mais un passage, une transition vers autre chose ? C’est ce que nous allons essayer de voir maintenant.
Les EMI
Dans les Expériences de Mort Imminente (EMI), le corps est cliniquement mort, la respiration et le cœur se sont arrêtés, il n’y a plus de réaction à la douleur, plus de réflexe.
Les personnes ayant expérimenté une EMI n’étaient pas inconscientes, elles ont ressenti et perçu des choses qui se sont passées pendant ces moments de mort physique. Et ensuite, le corps a repris vie et elles ont pu raconter ce qu’elles ont vécu.
Ceci pourrait indiquer que l’esprit et le corps sont deux choses distinctes, que l’esprit anime le corps, que l’esprit le quitte au moment de la mort. Mais parfois, dans le cas des EMI, l’esprit quitte le corps mais le reprend ensuite et lui redonne vie. Ceci pourrait être une explication des EMI.
Quoi qu’il en soit, les personnes ayant expérimenté une EMI sont profondément transformées et ne voient plus la mort comme une fin au-delà de laquelle il n’y a rien. Non, il la voit comme un passage, une transition. La mort n’est plus une fin car elles sont restées conscientes après la mort momentanée du corps.
Socrate et Platon
Socrate et son disciple Platon pensaient que l’âme est immortelle et qu’elle existe avant et après la vie terrestre. Dans son œuvre intitulée « Phédon », Platon rapporte un dialogue de son maître dans lequel il présente la mort comme une séparation temporaire du corps physique. Leur idée de l’immortalité de l’âme était étroitement liée au concept de réincarnation.
La mort et après : que disent les religions ?

Il est intéressant de noter que la plupart des religions voient la mort non comme une fin mais comme un passage vers autre chose. Certes, elles vont différer sur ce qu’il y a après la mort mais elles s’accordent à considérer qu’il y a quelque chose après.
Dans le christianisme, la mort est considérée comme une transition vers une vie dans l’au-delà. Les chrétiens croient en la résurrection des morts et en la vie éternelle dans le royaume de Dieu.
Dans l’islam, la mort est vue comme une transition vers l’au-delà, où chaque individu est récompensé ou puni en fonction de ses actions sur terre. Les musulmans croient en la vie éternelle et en la résurrection.
Dans le judaïsme, la mort est considérée comme une étape naturelle de la vie, et il y est enseigné que l’âme continue d’exister après la mort. Les Juifs croient en la résurrection des morts à la fin des temps et en l’existence d’une vie éternelle.
Le bouddhisme considère la mort comme une partie intégrante du cycle des vies, morts et renaissances qui se répètent indéfiniment. La mort est vue comme une transition vers une nouvelle existence, en fonction des actions passées (karma) de l’individu. L’objectif ultime du bouddhisme est de se libérer du cycle des renaissances en atteignant l’illumination (nirvana).
Dans l’hindouisme, la mort est également considérée comme une transition vers une nouvelle vie. Les hindous croient en la réincarnation, où l’âme est réintroduite dans un nouveau corps en fonction du karma accumulé dans les vies passées. Le but ultime est de parvenir à la libération (moksha) du cycle des renaissances.
La mort et après dans les différentes cultures au cours de l’histoire
Il est également intéressant de voir comment la mort était considérée dans quelques-unes des grandes civilisations que la Terre a connues au travers des âges.
Dans l’Égypte antique, la mort était considérée comme une transition vers une vie après la mort. Les Égyptiens croyaient en l’existence d’une âme immortelle (le ka) qui quittait le corps après le décès. Pour assurer une existence éternelle après la mort, on pratiquait la momification et l’enterrement avec des objets funéraires et des textes sacrés appelés « Livres des Morts » pour guider l’âme dans l’au-delà.

Toujours dans l’Antiquité, les Grecs et les Romains envisageaient la mort comme une séparation de l’âme et du corps. Ils croyaient que l’âme continuait à exister après la mort, mais son sort dépendait de la manière dont on avait vécu sa vie. Certains croyaient en l’existence d’un endroit sous terre, où les âmes étaient jugées et récompensées ou punies en fonction de leurs actions.
De nombreux peuples amérindiens considèrent que la mort n’est pas la fin, mais plutôt une transition vers une autre forme de vie. Ils croient en la continuité de l’âme ou de l’esprit, dont l’existence se poursuit dans un autre monde spirituel ou en se réincarnant.
Dans la Chine antique, on considérait généralement que la mort était une partie naturelle du cycle de la vie, et l’harmonie entre l’homme et l’univers était un concept important pour assurer une existence paisible après la mort.
Il est clair que les religions et la spiritualité aident à envisager la mort avec plus de sérénité et à se projeter sur l’après avec plus de tranquillité d’esprit et de sagesse. Le bien-être que cela apporte permet de mieux profiter de la vie et d’être plus heureux.
Ce qui peut vous aider à surmonter vos angoisses
En faisant certaines actions et en s’acquittant de certaines tâches, il est possible de modérer dans une certaine mesure la peur de la mort.
Faire ce que l’on a toujours voulu faire et qu’on n’a jamais fait
Certaines personnes ont l’impression de ne pas avoir réussi leur vie ou de ne pas avoir fait les bons choix, ou bien ils ont accumulé des regrets, des remords ou de la culpabilité. C’est un fardeau qui les tourmente et qui assombrit leur vie.
La seule et unique solution est de prendre en main la situation. Continuer à ruminer des pensées négatives ne va pas changer quoi que ce soit.
Pour cela, prenez une feuille de papier et faites la liste :
- de tout ce que vous avez tout le temps voulu faire et n’avez jamais fait ;
- de tout ce que vous avez regretté avoir fait ou pas fait ;
- de tout ce qui est une source de remords ou de culpabilité.
L’étape d’après consiste à remédier, dans la mesure du possible, à chaque chose que vous avez notée. Ne vous concentrez que sur les situations sur lesquelles vous pouvez agir. En effet, il va être difficile de devenir footballeur professionnel si c’est ce que vous vouliez faire quand vous aviez 20 ans et que vous en avez 50 maintenant.
Vous allez ainsi réparer les erreurs que vous avez commises, les comportements injustement durs que vous avez eu avec certaines personnes, etc. Il est possible que cela soit l’occasion de renouer des relations avec certaines personnes, d’aborder et de clarifier des sujets de brouille ou de faire un geste pour vous racheter.
Si vous avez le sentiment de ne pas assez vous être occupé de vos proches, c’est le moment de changer, de prendre plus soin d’eux et de passer davantage de temps avec eux.
C’est le moment également de faire le voyage que vous avez toujours voulu faire, d’arrêter de faire ce travail que vous n’aimez pas et de trouver un métier qui vous corresponde plus, de faire une activité qui donne un sens à votre vie (aide dans une association, dans l’humanitaire), etc.
Se reconnecter à la vie et au présent

Angoisser chroniquement à propos de la mort vous empêche de mener une vie heureuse. En fait vous ne vivez plus, vous ne profitez plus du présent car vous vous projetez en permanence dans un avenir sombre.
La solution est de se reconnecter au présent. Chaque fois que vous vous surprenez à penser au passé, à vos malheurs ou à la mort, eh bien à la place, forcez-vous à mettre votre attention dans l’environnement qui vous entoure. Pour cela, faites quelque chose qui vous procure du plaisir : allez faire un tour et observez la nature qui vous entoure, lisez un livre, regardez un épisode de votre série préférée, faites du jardinage ou du bricolage, préparez un gâteau ou un bon repas.
La vie comporte de nombreux plaisirs. Même si elle a été dure ou pénible dans le passé, vous pouvez changer cela et faire qu’elle soit agréable à partir de maintenant.
Une chose efficace à faire est de mettre son attention sur le positif et de ne pas s’appesantir sur le négatif.
En parler
Si la mort vous effraye, un bon remède est de trouver quelqu’un dans votre entourage avec qui vous vous entendez bien et qui sait vous écouter et de lui en parler le plus librement possible. Pouvoir vider votre sac va vous apporter un certain soulagement.
Avoir un rythme de vie sain

Certes, la vie comporte un certain nombre de dangers : virus, bactéries, maladies, accidents, pollution, guerre, criminalité. Et il est vrai que l’on ne sait pas vraiment à l’avance quand la mort va venir nous chercher. On ne peut pas réellement être sûr de comment et quand on va mourir.
Maintenant la moyenne d’âge des personnes qui meurt est de 85 ans pour les femmes et 79 ans pour les hommes. C’est une moyenne, ce qui veut dire que beaucoup meurent dans cette zone d’âge et peu meurent beaucoup plus jeunes ou beaucoup plus vieux. Si vous menez une vie saine et que vous ne vous exposez pas outre mesure à des risques exagérés, il sera alors très probable que vous mouriez après 75, 80 ou 85 ans.
Le fait d’avoir un rythme de vie sain a tendance à éloigner les pensées sombres ou bizarres. Donc assurez-vous :
- de dormir suffisamment ;
- de manger sain et équilibré ;
- de boire de l’eau ;
- de ne pas prendre de substances nocives pour la santé (alcool, tabac, drogues) ;
- de faire régulièrement du sport ou une activité physique ;
- de vivre dans un environnement reposant ;
- d’être entouré de personnes bienveillantes ;
- de ne pas (trop) regarder les actualités quel que soit le support (télévision, YouTube, presse écrite, presse internet…) car les nouvelles ont tendance à être anxiogènes.
Comment surmonter les angoisses du soir ou de la nuit

Chez certains, les angoisses de mort se manifestent surtout le soir au moment d’aller dormir.
Voici ce que vous devriez faire pour aider à calmer ce genre d’angoisses nocturnes :
- Ayez un rythme de vie sain comme expliqué précédemment ;
- Évitez les boissons excitantes (café, thé, boissons énergisantes, alcool) en fin de journée et idéalement après 16 heures ;
- Évitez de faire une activité sportive le soir. Par contre, avoir une activité physique tous les jours peut réellement aider à plus facilement s’endormir et à mieux dormir ;
- Mangez léger le soir. Ne mangez pas trop copieux et évitez les aliments et plats difficiles à digérer : viande rouge, charcuterie, tous les aliments gras (aliments frits, plats en sauce…), le pain blanc, les produits à base de lait en particulier de lait de vache, les légumineuses, les crucifères (famille du chou), les boissons sucrées (jus de fruits, sodas, alcool) ;
- Arrêtez les écrans au moins une heure avant de vous coucher ;
- Buvez une tisane avant d’aller au lit : verveine, valériane, passiflore, magnolia, camomille, lavande, mélisse, tilleul ;
- Couchez-vous et levez-vous tous les jours à la même heure. Avoir un rythme régulier favorise un endormissement plus rapide.
Nous espérons que les conseils donnés ici vous aideront à apaiser votre peur de la mort et à mener une vie plus sereine.
Source : Les Fondements de la vie de L. Ron Hubbard